Inspiré de la légende de Daïdarabotchi, créature mystique géante tout droit sortie de la mythologie japonaise, si grande que ses mouvements façonnent le monde : DAÏDA plante ici le décor du voyage épique dans lequel ils nous emportent, voyage aux multiples destins contés dans leur premier album « La Passion Du Cri (Kyrielle) », conçu comme une trilogie. Les morceaux où s’expriment sentiments exacerbés et paroxysmiques s’alternent aux grés des « Cris » des différentes « Passion(s) » qui jalonnent cette « Kyrielle » d’histoires. Tantôt révoltées et tourmentées, DAÏDA propose des voyages musicaux également mâtinés d’onirisme ou de nostalgie, à l’image d’une grande épopée. Portée par cette énergie, la musique de DAÏDA prend source dans les rythmiques effrénés, qui flirtent avec la transe des musiques techno, se mélange aux thèmes et harmonies lyriques au gré des envolées des solistes. Épique, la formation emmenée par Vincent Tortiller, distille un jazz électrique et progressif tel qu’il s’invente et se joue aujourd’hui : un nouveau jazz français, moderne et vivant qui emprunte aux musiques actuelles leur énergie et leur efficacité.
– NEWS –
Présélection iNOUÏS du Printemps de Bourges
le 10 janvier à La Maroquinerie
Best of 2022 JazzMag/Jazz News
Lauréats Jazz à la Défense (2021)
Singles inédits release printemps 2023
Vincent Tortiller pouvait-il trouver titre plus adapté ? Le deuxième EP de Daïda reste fidèle au filtre grandiloquent qu’il avait apposé au premier, La légende de Daïdarabotchi. Comme bande son du quotidien, La passion du cri a des vertus amplificatrices : les sentiments y sont plus forts, ils s’accordent à la tonalité épique revendiquée comme un ethos par Vincent Tortiller. Le jeune batteur a semble-t-il trouvé sa voie dans ce son moderne »
– LINE-UP –
Auxane Cartigny (Synthe)
Arno De Casanove (Trompette)
Samuel F’Hima (Contrebasse)
Antonin Fresson (Guitare)
Vincent Tortiller (Batterie)